Né à Albertville le 18 février 1963 de père haut-savoyard et de mère savoyarde, j’ai suivi un cursus scolaire traditionnel en école publique. Puis je me suis orienté vers une voie d’études techniques. Cela m’a permis d’acquérir des connaissances très utiles pour mon futur métier.
J’ai donc obtenu les diplômes suivants, qui, pour chacun d’entre eux, m’ont apporté une connaissance et une assise scientifiques :
J’ai alors exercé 7 années comme masseur kinésithérapeute dans deux cabinets, l’un à Praz sur Arly et l’autre à Flumet.
Puis j’ai commencé à étudier l’ostéopathie en France au CIDO (Centre International D’Ostéopathie) dans la ville de Saint-Étienne. Cela m’a amené à vouloir approfondir cette formation en choisissant l’European School of Osteopathy en Angleterre à Maidstone (Kent) où j’ai étudié 4 ans (en autofinancement) de 1994 à 1998. Il est à noter que le CIDO est également en lien (via un programme Erasmus et sur le plan pédagogique) avec cette école anglaise réputée.
J’ai fait le choix de cette école pour les raisons suivantes :
Fort de cette formation, j’ai donc créé deux cabinets d’ostéopathie. Le 1er à Annecy en 1998 et le 2nd à Flumet.
En 2008, j’ai obtenu une autorisation préfectorale, garante auprès de mes patients d’une légitimité, légalisation d’exercer et d’une sécurité de traitement.
Il est important de connaître les difficultés de notre activité. En effet, avant cette autorisation préfectorale mise en place grâce à la législation européenne, un ostéopathe pouvait être interdit d’exercer avec comme motif, l’exercice illégal de la médecine. Aujourd’hui cette autorisation assied officiellement cette médecine alternative et complémentaire. Récemment, en septembre 2016, à la demande expresse de mes patients et en raison de régulières fermetures de la route dans les gorges d’Arly, j’ai ouvert un nouveau cabinet à Albertville.
Ma volonté aujourd’hui, étant donné les difficultés que peuvent rencontrer les jeunes ostéopathes à s’installer, est, en quelque sorte, de les parrainer. C’est une des raisons qui m’ont poussé à collaborer avec Noémie Angelloz-Nicoud et Thomas Legris. Tous deux issus du CIDO avec une grande aptitude à ce métier. Une autre raison étant d’apporter à nos patients un confort de travail et donc de les satisfaire dans les soins que nous pouvons leur prodiguer.